

Dans les bois profonds
Polar schizo / Colette Berthès
Livre papier : 12,50 € / E-book : 3,99 €
Qui est ce paisible retraité assassiné sur un parcours forestier de tir à l'arc et pourquoi a-t-il été tué ? L'enquête des gendarmes patine... Et que cache la grosse berline abandonnée au fond de ces mêmes bois où la mort rode, une fois encore ?
Deux dames sans histoire et sans qualification, une correspondante de presse locale et une écrivaine de romances, enquêtent sans jamais se rencontrer. Elles vont prendre tous les risques pour résoudre ces mystères où se dissimulent survivalistes, trafiquants de drogue, flics ripoux, bourgeois presque honnêtes et autres manipulateurs.
Avec humour et empathie, l'autrice, Colette Berthès nous entraîne dans un de ces récits, à la fois local et universel, dont elle a le secret.
L'auteure
Colette Berthès est née en 1948 et a passé son enfance et sa jeunesse dans le bas Quercy entre Lot et Tarn et Garonne, Septfonds, la région de Lalbenque et Montauban. Elle a ensuite vécu, étudié — Langues Orientales, anglais, journalisme — puis travaillé à Paris avec de nombreux séjours au Moyen Orient sans jamais couper les ponts avec le pays de son enfance avant de revenir y vivre en 1982.
Mille métiers, de la Poste aux services sociaux (responsable d'un Foyer de Jeunes travailleurs) en passant par l'animation socio-culturelle, la formation, le travail auprès de réfugiés, l'animation théâtrale...bien d'autres encore et même France -Télécom ! Elle est engagée dans plusieurs associations, en particulier Lutte pour la Justice, qui se bat pour l'abolition de la peine de mort aux Etats Unis et France Palestine Solidarité. Depuis maintenant dix ans, elle se consacre à l'écriture (articles, livres, poésie etc) et à ce qui est lié à ce « métier » rencontres, conférences, signatures, salons, intervention en milieu scolaire etc.
Ouvrages : La Machine à tuer (les Arènes) / Paris), La Mémoire des Chemins (de Borée, 2008), L'Exil est les barbelés (Riveneuve / Paris, 2011), Le Rossignol chante la nuit (Thierry Magnier, 2011, dessins de Rachid Koraïchi), Les Amants de Borde Rouge (de Borée, 2012)
Avis de lecteurs
Un polar soft qui ne manque pas de rebondissements ni de suspense, et aux deux "enquêtrices" aussi cocasses et divertissantes l'une que l'autre ... et perspicaces.
La plume est entraînante et a su éveiller ma curiosité. Curiosité un peu plus titillée avec la dernière page : quand j'ai eu refermé ma liseuse je me suis demandée si je ne venais pas de lire un "polar autobiographique".
En tout cas j'ai adoré Honorine et Baboune, et je ne serai pas contre les rencontrer à nouveau dans un prochain roman.
Isa.h62bis sur Instagram)